Voir tous les épisodes
Tiens un stand alone. Enfin vaguement connecté aux épisodes précédents via le personnage de Mudd. Ca donne tout de suite un récit plus étriqué plaqué sur la technique du loop temporel façon Un jour sans fin. C'est toujours rigolo, encore que ça devient un peu usé et puis le dénouement avec Stella et son daron est assez glandu.
Plus navrant, ce sentiment récurrent cette semaine encore de retrouver The Orville que j'avais pourtant fui (suis-je aussi piégé dans un loop?). Le crew du Discovery se tape des booms au champony en écoutant du rap et en cumulant flirts et jeux de basket avec des gobelets façon teenagers américains moyens. Je trouve ça naze. Ils feront vraiment encore comme ça dans le futur, c'est ça l'anticipation à l'américaine? L'impérialisme culturel US comme référence pour la fin des temps et jusqu'aux confins des galaxies?
J'ai rigolé par rapport à la baleine de l'espace. Après les spores, l'acarien, voila le cétacé. C'est bien peuplé le vide de l'espace. Scientifiquement je trouve toujours cela aussi peu sérieux. Artistiquement, la baleine avait la tête du demon dog de la nouvelle saison de Stranger Things. C'est ce que je disais dans ma critique dédiée, les copier coller des studios d'effets spéciaux CGI hollywoodiens, ça commence réellement à sentir la honte.
Plus navrant, ce sentiment récurrent cette semaine encore de retrouver The Orville que j'avais pourtant fui (suis-je aussi piégé dans un loop?). Le crew du Discovery se tape des booms au champony en écoutant du rap et en cumulant flirts et jeux de basket avec des gobelets façon teenagers américains moyens. Je trouve ça naze. Ils feront vraiment encore comme ça dans le futur, c'est ça l'anticipation à l'américaine? L'impérialisme culturel US comme référence pour la fin des temps et jusqu'aux confins des galaxies?
J'ai rigolé par rapport à la baleine de l'espace. Après les spores, l'acarien, voila le cétacé. C'est bien peuplé le vide de l'espace. Scientifiquement je trouve toujours cela aussi peu sérieux. Artistiquement, la baleine avait la tête du demon dog de la nouvelle saison de Stranger Things. C'est ce que je disais dans ma critique dédiée, les copier coller des studios d'effets spéciaux CGI hollywoodiens, ça commence réellement à sentir la honte.
de plus le nom du personnage est le même, Harry Mudd entre la série des années 60 et celle d'aujourd'hui :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Harcourt_Mudd
ça rappelle aussi le personnage de Trelane ( série années 60 ) et celui de Q ( série des années 80 ), mais eux avaient des pouvoirs magiques, avec toujours ce coté comique/ironique :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Q_(Star_Trek)
il est probable que les scénaristes vont continuer ces clins d'oeils aux franchises précédentes, mais seuls ceux qui ont vu les précédentes séries Star Trek vont les remarquer ( et peut-être les apprécier )
Autant ils chiadent les environnements, autant ils conservent la fantaisie pulp SF des 60's. Les baleines qui flottent dans le vide intersidéral, etc... Déjà on n'est plus raccord avec le reboot de J.J. Abrams plus rigoureux dans l'approche technologique..